[Palais de la Kasbah] – Ce n’est pas tous les jours que l’histoire se joue à ce niveau, mais aujourd’hui, Kaïs Saïed, fidèle gardien de l’honneur national, a encore une fois prouvé qu’aucun détail n’échappe à sa vigilance acérée. En déambulant dans les bureaux du pouvoir, il est tombé sur un affront insupportable : un drapeau tunisien sali par une tache suspecte, et pire encore, des faïences mal peintes dans les couloirs, comme si l’État devait se laisser envahir par la médiocrité.
La tache de l’ennemi : un coup bas international ?
Tout a commencé lors d’une visite d’inspection, lorsqu’il a jeté un coup d’œil sur un drapeau fraîchement installé dans le hall. Mais horreur ! Une tache jaune suspecte défigurait la beauté de ce symbole national. Immédiatement, Kaïs Saïed a senti que ce n’était pas un simple accident. Une provocation bien orchestrée, un affront direct à la dignité de la Tunisie. Il n’a pas tardé à décrypter la situation : c’était de la Celtia, une boisson tunisienne d’apparence innocente, mais en réalité, utilisée par des comploteurs sionistes afin de salir le drapeau national dans une tentative perfide de déstabiliser la nation.
Le Président n’a pas manqué de montrer l’étendue de sa clairvoyance en pointant du doigt l’ombre d’une conspiration internationale. Il a immédiatement ordonné une enquête en profondeur, s’assurant que cette attaque contre la souveraineté tunisienne ne passerait pas inaperçue. Les responsables de ce coup bas seront, selon des sources proches du pouvoir, implacablement démasqués et devront répondre de leur acte devant l’histoire.
“On ne salit pas le drapeau de la Tunisie sans conséquences,” a-t-il martelé, avec la ferveur de celui qui sait qu’il mène un combat de géopolitique quotidienne.
Le mur défiguré : un signe de la décadence fonctionnaire ?
Mais comme si cela ne suffisait pas, Kaïs Saïed s’est retrouvé face à une autre offense monumentale : un mur de faïence, peint de manière lamentable, avec des éclats de couleur mal appliqués et une finition qui aurait honte même dans une salle d’école primaire.
Kaïs Saïed, jamais satisfait d’une médiocrité administrative, a vu dans ce mur une manifestation cruelle de l’incompétence qui gangrène certains recoins de l’État. Une fois encore, il a agi rapidement, sans tergiverser : les coupables seraient rapidement traqués et sévèrement punis.
Des rumeurs évoquent déjà des peines de travaux forcés dans les ateliers de peinture d’assiettes à touristes à Nabeul, mais le Président, implacable dans sa quête de perfection, a également lancé une grande réforme de la faïence, affirmant que plus jamais une céramique ne serait peinte de travers en Tunisie.
Un président inébranlable, pour une Tunisie irréprochable
Ainsi, Kaïs Saïed, toujours sur le qui-vive, a encore une fois montré son intransigeance face aux conspirations et à la médiocrité administrative, traquant les traîtres et les incompétents là où qu’ils se cachent. Le peuple tunisien peut être fier de son Président, car il incarne la rigueur, la détermination et la défense de l’honneur national.