[Palais de Carthage] – C’est une scène digne d’un thriller d’espionnage qui se déroule actuellement à la présidence tunisienne. En effet, le président Kaïs Saïed, habituellement calme et réfléchi, semble avoir perdu son sang-froid cette fois-ci. À en croire nos sources internes, une quête désespérée est en cours pour retrouver un petit post-it crucial qui, selon Saïed, renferme le code secret de la force de frappe nucléaire tunisienne. Un morceau de papier apparemment sans importance, mais d’une valeur inestimable.
Tout aurait commencé ce matin, lorsqu’une trace de mauvais café sur son bureau a révélé à Kaïs Saïed une vérité implacable : son précieux post-it, contenant ce code tant convoité, avait disparu. Après plusieurs heures de recherche frénétique dans les tiroirs, derrière les rideaux et sous les tapis, il a découvert avec horreur que le document avait probablement été jeté accidentellement par des traîtres infiltrés parmi les équipes de ménage de la présidence.
« Comment ont-ils osé ? » a-t-il lâché, en fulminant, avant de désigner une grande décharge de vieux papiers à recycler située juste à l’extérieur du palais présidentiel. Selon des témoins présents sur place, le président Saïed, accompagné de ses conseillers (visiblement moins en forme que d’habitude), scrutait la montagne de documents avec une intensité digne d’un détective résolvant son dernier mystère. « Il doit être là… dans ce tas de détritus ! » a-t-il murmuré à ses collaborateurs, avant de se lancer dans une fouille méthodique des vieux papiers, à la recherche du fameux post-it.
La situation est d’autant plus tendue que le président n’a pas tardé à accuser des agents infiltrés à la solde des spéculateurs et de parties étrangères, qu’il soupçonne d’être responsables de ce sabotage. « Un coup monté pour me nuire et compromettre la sécurité nationale », a-t-il déclaré en levant un doigt accusateur vers le ciel, tout en fouillant dans les piles de vieux journaux et brochures présidentielles.
Les experts de la sécurité nationale, eux, semblent quelque peu perplexes face à cette situation. « Nous avons bien vérifié : la Tunisie n’a aucune force de frappe nucléaire », a indiqué un analyste, tout en ajoutant avec un sourire gêné : « Mais il est toujours possible que ce post-it contienne des informations sensibles… ou le menu secret de la mouloukhia au CBD, réputées pour leur pouvoir à apaiser les crises de Kaïsoun. »
Quoi qu’il en soit, l’histoire continue de défrayer la chronique. Un appel d’urgence a été lancé aux équipes de recyclage pour tenter de récupérer les papiers avant qu’ils ne soient envoyés à l’usine. Pour Kaïs Saïed, ce qui semblait être une journée ordinaire s’est transformé en véritable cauchemar.
En attendant, des mesures de sécurité exceptionnelles ont été mises en place autour de la décharge. Et, pour l’instant, la « force de frappe » tunisienne reste un mystère…