à propos
De nos jours, la vérité n’est qu’un point de vue, choisissez donc l’option qui vous convient le mieux :
Option 1
Ce site a été créé par des traîtres, des serpents, des rats et des conspirateurs dont la seule motivation est d’affamer la Tunisie, de nuire à ses intérêts et de déstabiliser son régime. Cette petite bande d’odieux personnages travaille évidemment avec l’aide de lobbyistes apatrides pour des intérêts étrangers, le Mossad et des parties obscures (il n’est pas exclu que les maçons, les Illuminati et les reptiliens aient pris part au complot).
Ces traîtres profitent de moyens considérables, puisant dans le magot de 3 000 milliards de dinars confisqués au peuple Tunisien avec la complicité de traîtres infiltrés dans l’administration.
Les conspirateurs sont en outre difficiles à localiser, car ils se déplacent en permanence dans des tunnels, ou à bord d’un avion subtilisé à Tunisair.
Option 2
Ce site satirique a été créé par un citoyen fatigué de voir son pays tomber en décrépitude, sous la gouvernance d’un inculte haineux capable de peu de choses, si ce n’est de déblatérer à longueur de soirée (il travaille rarement le jour) des âneries complotistes d’une vacuité affligeante.
Ledit citoyen et webmestre ne pensait pas qu’un jour, la Tunisie deviendrait une telle dystopie qu’il irait jusqu’à s’inspirer du site Kim Jong-Il looking at things pour dénoncer la folie gagnant le palais de Carthage dans l’indifférence générale. Il y a en effet un stade où la fiction n’est plus nécessaire pour rire : l’ânerie du premier Tunisien dans sa réalité crasse s’auto-suffit amplement.
Toutes les images du site sont réelles (une IA n’aurait pas été si prolixe). Une bonne partie provient même du portail de la présidence de la république tunisienne. Tous les commentaires sont inspirés, sans ajouts, des nombreux monologues délirants de Kaïs Saïed.
Ah si, une petite usurpation que l’on admet volontiers : le logo de la présidence tunisienne emprunté sans vergogne. En bons citoyens, nous préférons nous auto-dénoncer pour aider le parquet tunisien (totalement indépendant) et lui faire gagner du temps pour activer le décret 54 protégeant la liberté de penser.